(Adının okunuşu Jak Dölil) XVIII. asır ile XX. asır başlarında yaşamış şâir bir fransız râhibi; fransız edebiyatında romantiklerin öncülerinden biri bilinir; 1738 de Aigueperse’de doğdu, 1813 de Paris’de öldü; şiirleri “les Jardins”, “l’Hamme des ehamps” ve “l’İmagination” isimli üç eserde toplanmışdır; lâtin şâiri Virgile ile ingiliz şâiri Milton’un şiirlerini de manzum olarak fransızcaya çevirmişdir. Jacques Delille 1784-1785 yıllarını bir doğu seyahatında geçirmiş ve bir müddet Istanbulda Fransa elçisinin misâfiri olarak Boğaziçinde Trabyadaki elçilik yalısında oturmuşdur; aşağıdaki mısrâlar şâirin İstanbuldan mülhem yazılarındandır; Qne de fois dans les murs de la fière Byzance, Je m’en souviens encore d’un oeil présomptucux Contemplant du sérail les murs voluptueux... Malgré ses fiers gardiens, ses portes redoutables, Ou veille la terreur à côté du plaisir, Dans mon illusion, grilles, touıs, janissaires, Mon oeil franchissait tout; mes regards téméraires Osaient percer l’asile ou l’indoont orgueil Flotte entre mille appâts et choisit d’un coup d’oeil Autour de ces sofas où la langueur repose, J’aspirai le moka, je respirai la rose; J’osai plus: dans ces bains frais et mystérieux Que jamais ne profane un regard curieux, Oû cent jeunes beautés, plus belles sans parure, Pour ...

(Adının okunuşu Jak Dölil) XVIII. asır ile XX. asır başlarında yaşamış şâir bir fransız râhibi; fransız edebiyatında romantiklerin öncülerinden biri bilinir; 1738 de Aigueperse’de doğdu, 1813 de Paris’de öldü; şiirleri “les Jardins”, “l’Hamme des ehamps” ve “l’İmagination” isimli üç eserde toplanmışdır; lâtin şâiri Virgile ile ingiliz şâiri Milton’un şiirlerini de manzum olarak fransızcaya çevirmişdir. Jacques Delille 1784-1785 yıllarını bir doğu seyahatında geçirmiş ve bir müddet Istanbulda Fransa elçisinin misâfiri olarak Boğaziçinde Trabyadaki elçilik yalısında oturmuşdur; aşağıdaki mısrâlar şâirin İstanbuldan mülhem yazılarındandır; Qne de fois dans les murs de la fière Byzance, Je m’en souviens encore d’un oeil présomptucux Contemplant du sérail les murs voluptueux... Malgré ses fiers gardiens, ses portes redoutables, Ou veille la terreur à côté du plaisir, Dans mon illusion, grilles, touıs, janissaires, Mon oeil franchissait tout; mes regards téméraires Osaient percer l’asile ou l’indoont orgueil Flotte entre mille appâts et choisit d’un coup d’oeil Autour de ces sofas où la langueur repose, J’aspirai le moka, je respirai la rose; J’osai plus: dans ces bains frais et mystérieux Que jamais ne profane un regard curieux, Oû cent jeunes beautés, plus belles sans parure, Pour voile à la pudeur donnent leur chevelure, Malgré l’affreux cordon, malgré le sabre nu, J’entrai, brûlant de voir et tremblant d’avior vu. (l’İmagination) Vous dirai-je quel luxe, aux rives ottomanes, Charme dans leurs jardins les beautés musulmanes? Là, les arts enchanteurs prodiguent les berceaux, Le marbren des bassins, le murmure des caux, Les kiosks élégants, les fleurs toujurs écloses, L’empire d’Orient est l’empire des roses. (les Jardins) Bibl.: Turing Klüb Belleteni